Copier/coller de la discussion Messenger : by Laurent
Ok bon, un récapitultif le plus exhaustif possible. Il s'agit de mettre en place un système, une structure, à destination de tout groupe souhaitant monter un lieu de vie collectif. Cette structure - à priori une association, de par lavocation à but non lucratif et la facilité de création- se verrait jouer le rôle de garant auprès de locataires d'un lieu destiné à des projets divers zé variés. Ce système de garant a pour objectif de court circuiter les exigences classiques des bailleurs envers les particuliers, exigences qui généralement maintiennent les gens dans leur isolement car ils ne répondent pas à ces critères d'accession au logement, type 3 fois le montant du loyer en revenu et garant idem. Dans ce système, c'est l'association qui loue, avec pour garant un compte bloqué, un principe de caution bancaire. Ce compte est alimenté par des prêts, du mécénat en quelque sorte et va donc nécessiter dans un premier temps une large étape de communication pour se faire connaître et soutenir.Le but est double : faire fonctionner l'altruisme en récoltant beaucoup de petites sommes, plutôt que la recherche de gros financeurs ayant des attentes de retour sur investissement. Le collectif en contrepartie s'autogère localement pour répondre aux exigences de loyer envers l'association, qui elle du coup sous loue aux membres du collectif selon ses conditions propres. Une des propositions tiendrait à par exemple le versement d'un mois de caution et un engagement moral à participer à une activité du collectif. Ces collectifs en fait ont pour mmission de rembourser les contributeurs de départ qui ont permis de monter la caution bancaire. C'est aussi une raison de faire appel à des petites sommes, afin que les souscripteurs ne soient pas lésés en engageant de trop fortes somes qui pourraient être longues à récupérer. Il ne s'agit donc pas de donc, mais de prêts. Etape 2, une fois l'association en possession de fonds propres (toutes les souscritpitons d'origine remboursées), ces fonds serviront à la mise en commun autour d'une SCI à l'achat de bâtiment et/ou de terre, qui pour le coup seront rétérocéées aux participants sur le principe de la location vente. L'objectif étant là de court circuiter le strict accès à un bout de chez soi ou de terre à soi grâce à un fort pouvoir d'achat à l'origine, ce qui, concrètement, finit toujours généralement par nuire au sein des collectifs, hiérarchisant les rapports décisionnels en fonction de l'aport financier de tel ou tel. C'est donc à plusieurs niveaux permettre à des gens non solvables aux yeux du système de sortir des villes, des hlm etc en accédant à des projets de vie plus épanuissants, puis d'autre part de permettre d'en faire autant à des personnes ayant peut être plus d emoyens financiers mais inhibés par la crainte de voir leur pécule englouti dans des projets qui n'baoutiront peut être pas. Au-delà de l'aspect égalitaire vis à vis de ce cancer qu'est l'argent, l'objectif est bel et bien de créer un zone tampon entre "vie d'avant et vie d'après", ouvrir (libérer) des lieux où par la vie en commun, par l'expérience du quotidien les gens pourront se trouver et mettre au point des projets sur du plus long terme en meilleure connaissance de cause que quelques rencontres et discussions internet. Plusieurs débouchés et moyens s'ouvrent à ce type de fonctionnement, mais esentiellement l'idée est d'échapper au rapport humain/fric et mettre en place un système, un outil solidaire mettant en place un système humain/humain. Les questions sont nombreuses, par exemple quelles sont les conditions relatives à la création d'un compte bancaire servant de garantie ? Un minimum obligatoire par exemple ? En fonction de quels critères ? Ensuite, l'accession au système devrait elle impliquer directement les bénéficiaries du système au conseil d'administration ? Je peense que oui car c'est plus responsabilisatn et chaque membre devient réellement acteur de cette sorte de coopérative, de caisse solidaire. Une autre super mega importante c'est le nom à donner à la structure aha ! bon quelques propositions ont été faites, permacompte que j'aime bien, cependant ça oriente nécessairement vers l'idée que ce serait destiné exclusivement à une démarche en permaculture, j'ai pensé à "grain de sable", parce que celui dans la machine, ou celui des petites sommes qui cumulées font un tas de billets, et cet après midi je pensais à "association passerelle", car en fait il s'agit bien de ça, permettre à des personnes de passer d'une vie à une autre et de mettre en rapport des pratiques et des modes de pensées finalement tellement distants que personne ne semble pouvoir communiuqer. L'idée de ces sous location en tant qu'asso auprès de particuliers est assez souple en fait, ça permet aux personnes de rentrer ou sortir quand ils le souhaitent, sans nécessairement disposer d'un gros capital pour se permettre de s'installer, cela permet également à toute cette population de gens vivant en nomadimse ou semi nomadisme par exemple d'avoir des spots ponctuels, voir tout bêtement une adresse postale, etc. Cela peut être aussi dans une logique d'accueil de gens en galère momentanée, il y en a de tellement de types que le liste est inutile. Mais au final ça reste surtout une idée souhaitant devenir un outil charnière entre un monde que nous rejetons et celui auquel nous apirons, une paserelle pour passer d'un flanc du ravin à l'autre.
Ok bon, un récapitultif le plus exhaustif possible. Il s'agit de mettre en place un système, une structure, à destination de tout groupe souhaitant monter un lieu de vie collectif. Cette structure - à priori une association, de par lavocation à but non lucratif et la facilité de création- se verrait jouer le rôle de garant auprès de locataires d'un lieu destiné à des projets divers zé variés. Ce système de garant a pour objectif de court circuiter les exigences classiques des bailleurs envers les particuliers, exigences qui généralement maintiennent les gens dans leur isolement car ils ne répondent pas à ces critères d'accession au logement, type 3 fois le montant du loyer en revenu et garant idem. Dans ce système, c'est l'association qui loue, avec pour garant un compte bloqué, un principe de caution bancaire. Ce compte est alimenté par des prêts, du mécénat en quelque sorte et va donc nécessiter dans un premier temps une large étape de communication pour se faire connaître et soutenir.Le but est double : faire fonctionner l'altruisme en récoltant beaucoup de petites sommes, plutôt que la recherche de gros financeurs ayant des attentes de retour sur investissement. Le collectif en contrepartie s'autogère localement pour répondre aux exigences de loyer envers l'association, qui elle du coup sous loue aux membres du collectif selon ses conditions propres. Une des propositions tiendrait à par exemple le versement d'un mois de caution et un engagement moral à participer à une activité du collectif. Ces collectifs en fait ont pour mmission de rembourser les contributeurs de départ qui ont permis de monter la caution bancaire. C'est aussi une raison de faire appel à des petites sommes, afin que les souscripteurs ne soient pas lésés en engageant de trop fortes somes qui pourraient être longues à récupérer. Il ne s'agit donc pas de donc, mais de prêts. Etape 2, une fois l'association en possession de fonds propres (toutes les souscritpitons d'origine remboursées), ces fonds serviront à la mise en commun autour d'une SCI à l'achat de bâtiment et/ou de terre, qui pour le coup seront rétérocéées aux participants sur le principe de la location vente. L'objectif étant là de court circuiter le strict accès à un bout de chez soi ou de terre à soi grâce à un fort pouvoir d'achat à l'origine, ce qui, concrètement, finit toujours généralement par nuire au sein des collectifs, hiérarchisant les rapports décisionnels en fonction de l'aport financier de tel ou tel. C'est donc à plusieurs niveaux permettre à des gens non solvables aux yeux du système de sortir des villes, des hlm etc en accédant à des projets de vie plus épanuissants, puis d'autre part de permettre d'en faire autant à des personnes ayant peut être plus d emoyens financiers mais inhibés par la crainte de voir leur pécule englouti dans des projets qui n'baoutiront peut être pas. Au-delà de l'aspect égalitaire vis à vis de ce cancer qu'est l'argent, l'objectif est bel et bien de créer un zone tampon entre "vie d'avant et vie d'après", ouvrir (libérer) des lieux où par la vie en commun, par l'expérience du quotidien les gens pourront se trouver et mettre au point des projets sur du plus long terme en meilleure connaissance de cause que quelques rencontres et discussions internet. Plusieurs débouchés et moyens s'ouvrent à ce type de fonctionnement, mais esentiellement l'idée est d'échapper au rapport humain/fric et mettre en place un système, un outil solidaire mettant en place un système humain/humain. Les questions sont nombreuses, par exemple quelles sont les conditions relatives à la création d'un compte bancaire servant de garantie ? Un minimum obligatoire par exemple ? En fonction de quels critères ? Ensuite, l'accession au système devrait elle impliquer directement les bénéficiaries du système au conseil d'administration ? Je peense que oui car c'est plus responsabilisatn et chaque membre devient réellement acteur de cette sorte de coopérative, de caisse solidaire. Une autre super mega importante c'est le nom à donner à la structure aha ! bon quelques propositions ont été faites, permacompte que j'aime bien, cependant ça oriente nécessairement vers l'idée que ce serait destiné exclusivement à une démarche en permaculture, j'ai pensé à "grain de sable", parce que celui dans la machine, ou celui des petites sommes qui cumulées font un tas de billets, et cet après midi je pensais à "association passerelle", car en fait il s'agit bien de ça, permettre à des personnes de passer d'une vie à une autre et de mettre en rapport des pratiques et des modes de pensées finalement tellement distants que personne ne semble pouvoir communiuqer. L'idée de ces sous location en tant qu'asso auprès de particuliers est assez souple en fait, ça permet aux personnes de rentrer ou sortir quand ils le souhaitent, sans nécessairement disposer d'un gros capital pour se permettre de s'installer, cela permet également à toute cette population de gens vivant en nomadimse ou semi nomadisme par exemple d'avoir des spots ponctuels, voir tout bêtement une adresse postale, etc. Cela peut être aussi dans une logique d'accueil de gens en galère momentanée, il y en a de tellement de types que le liste est inutile. Mais au final ça reste surtout une idée souhaitant devenir un outil charnière entre un monde que nous rejetons et celui auquel nous apirons, une paserelle pour passer d'un flanc du ravin à l'autre.